Cette partie me tient le plus à cœur. Les parties précédentes, en plus d’apporter un réel contenu scientifique, vont servir à faire le point sur la véracité des nouveaux mythes apparus au début des années 2000. C’est important pour moi car les promulguer et y croire ne font que maintenir la souffrance. S’il y a quelques personnes à qui cela a fait du bien, ce n’est que parce qu’elles ont mis en place certains processus qui permettent de se dégager de la souffrance, mais ce n’est pas le cas de tout le monde. Et la majorité des personnes qui y croient et s’y attachent sont dans ce qu’on appelle une impuissance apprise : elles ont abandonné toute idée de changer car ce n’est pas de leur faute, c’est la faute aux autres, à la société.
Ceci est en lien avec l’attribution causale :